Curiosités géologiques diverses

Il n'y a pas que de la lave

La Réunion est essentiellement constituée de laves de toutes variétés, le plus souvent recouvertes de végétation. Pourtant, ça et là, le randonneur se retrouve nez à nez avec une particularité qu'il ne trouvera nulle part ailleurs sur l'île ou en très petite quantité. A nous d'ouvrir l'œil et de mieux connaître ces lieux souvent magiques.

Régions
Carte

Cirque de Cilaos

Le lion des neiges

Facile à dénicher lors de la fin de l'ascension du Piton des Neiges

Repéré et offert par Stéphanie, ce lion de basalte rougeoyant veille jour et nuit sur le Cirque de Cilaos depuis le sommet du Piton des Neiges. Comme toutes les sculptures, on ne voit pas toujours du premier coup d’œil la forme la plus évidente.

Rochers typiques

Photo 1 : La Grotte du premier passage, en fin de parcours du circuit qui longe la Rivière des Marsouins à l'Ilet Coco Photo 2 : Une des trois roches qui ont donné leur nom à la cascade qui coule à leurs pieds dans le Cirque de Mafate Photo 3 : Dans le lit de la Rivière des Galets entre Cayenne et Deux Bras Photo 4 : En franchissant le Bras Rouge entre l'Ilet à Cordes et Cilaos .

C'est par milliers qu'on rencontre des rochers traînés par les eaux ou tombés des remparts. Certains, plus originaux que d'autres méritent parfois une petite halte ou une photo souvenir.

Source d'eau Chaude

A trouver en fonction des indications données sur les fiches concernées.

Il n'est pas très rare de trouver des sources chaudes dans les régions volcaniques. On peut en rencontrer plusieurs en randonnant à Salazie ou Cilaos. Toutes sont situées dans des coins reculés assez loin des sentiers.

Cirque de Salazie

Coulées ferrugineuses

C'est aux Sources Mannouilh que cette photo a été prise parmi la demi douzaine de sources ferrugineuses du secteur. On en voit des belles lors de la boucle du Bras des Etangs ou lors de la remontée du Bras Rouge vers le Bassin Fouquet.

Ces concrétions ferrugineuses sont assez rares. On en voit souvent de très petites et les plus importantes s'observent aux Sources Mannouilh. Certaines coulées presque rouges ont certainement donné leur nom au Bras Rouge.

Ignimbrite soudée et prismée

C'est de l'Îlet Morin, sur le route de Salazie, un peu après le pont de l'Escalier qu'on peut mieux les distinguer.

Le cirque de Salazie présente plusieurs zones de falaises abruptes constituées essentiellement d'orgues basaltiques. Celles-ci sont d'un type bien particulier car il s'agit d’ignimbrite soudée et prismée. Laurent Michon, du Laboratoire Géosciences de la Réunion en fait une bonne description sur cette page.

Sources pétrifiantes

Ces sources se méritent et se rencontrent après des heures à remonter certaines ravines du cirque. Pas d'indication précise pour s'y rendre et ainsi préserver leur pureté.

Ces sources, officielles il y a quelques années, ont disparu sous des coulées ou éboulis. On en trouve encore de très belles dans le cirque de Salazie mais il faut préserver ces lieux qui ne supportent pas les semelles de chaussures.

Tunnels de transport de l'eau

Les tunnels sont visibles sur les cartes IGN où ils sont représentés par des traits en pointillés bleus. Les portes ou fenêtres sont elles représentées par des points noirs.

Un vaste système de récupération de l'eau a été mis en place à la Réunion. Des prises d'eau sont installées sur plusieurs rivières à la même altitude (Rivière du mât, Rivière des Fleurs jaunes, Rivière des Pluies, Bras de Sainte-Suzanne, Rivière des Galets). Un tunnel de plusieurs dizaines de kilomètres est creusé sous la montagne. L'eau récupérée est acheminée vers l'Ouest, beaucoup plus sec et en fort besoin d'eau. Ces tunnels ne se visitent pas mais on peut rencontrer des portes, fenêtres ou bouches de tunnels à travers lesquelles ont peut voir les ingénieux systèmes de récupération et transport.

Est

Sculptures anciennes

Les plus belles sculptures peuvent s'admirer comme celle-ci depuis le Piton Chisny en bordure de la Plaine des Sables.

La nature, principalement volcanique, peut en raison de la chaleur créer des oeuvres magnifiques et quasiment éternelles.

Nouvelle plage du Tremblet

Quitter la RN2 au Tremblet en direction du Quai de Sel ou de la Pointe du Tremblet. Un parking est situé en fin de route. On rejoint la plage en marchent sur un sentier pentu mais à la porté de tous.

La coulée de 2007 partie du Piton du Tremblet est descendue jusqu'à la mer, créant de nouvelles terres. Ces terres, ou plutôt ces laves, ont aussitôt été attaquées par les vagues incessantes qui ont les ont effritées puis réduites en sable fin. L'importante quantité d'olivine prisonnière des roches a petit à petit recouvert cette plage de sable jaune tirant sur le vert, d'un très bel effet au soleil. C'est une plage parmi les plus récentes sur le globe terrestre.

Pièges à bichiques

Depuis le littoral, s'approcher des embouchures de rivières et repérer si elles se prêtent à cette pêche.

Les bichiques sont des alevins de cabots qui remontent les rivières par centaines de milliers à certaines périodes de l'année. Ces alevins sont piégés par les pêcheurs qui les revendent au prix fort. Pour faciliter cette pêche, des canaux sont construits dans les embouchures. On peut en rencontrer partout sur l'île.

Téléphérique

Prendre la route forestière menant de la Route de Bélouve à Takamaka. Le téléphérique est situé à la fin de la piste, avant d'entamer la descente par le sentier.

Plusieurs projets de téléphériques sont en cours. Un d'entre eux est presque terminé dans le chef-lieu. On peut rencontrer en randonnée des montes-charges, d'anciens systèmes devenus obsolètes ou ce téléphérique chargé de transporter le personnel vers les barrages de la Rivière des Marsouins.

Nord

Erosion type Chamarel

Plusieurs "spots" de cette terre rouge, ocre ou grise se rencontrent lors de la Randonnée qui rejoint Saint-Bernard au Chemin des Anglais.

Rare et curieux phénomène d'érosion à la "Colorado" mais sur une surface infime. Les roches restent en équilibre instable et seront emportées un jour par un écoulement cyclonique. Hélas les motards et cyclistes rongent petit à petit ce lieu qui justifie pourtant la randonnée jusqu'au Chemin des Anglais. L'érosion est du même type que Chamarel à Maurice mais sur des terrains différents.

Ouest

Puits de stockage de la glace

Les deux puits sont visibles lors de la belle boucle montant au Grand Bénare. L'un est situé sur le sentier entre la Glacière et le Gîte des Tamarins, celui-ci entre le Piton Rouge et la Glacière.

Il reste deux puits de stockage intermédiaire de la glace provenant de la Glacière. Ils sont encore en assez bon état.

Dyke

On peut voir plusieurs dykes sur l'île comme au Pas de Bellecombe. Celui-ci est proche du Glacière.

On rencontre souvent de ces murailles de lave solidifiée mais c'est celui du Piton Rouge qui est le plus original.

Souffleur sec

Ce trou se trouve près d'une des 5 arches naturelles de la Pointe Maignan, près d'une arche très haute et facile à repérer. S'il y a des vagues, s'approcher de l'arche et attendre le bruit sans s'asseoir par mégarde sur l'orifice !

Contrairement aux souffleurs projetant de l'eau de mer, celui-ci est plus difficile à trouver. Il faut souvent se trouver fortuitement près de lui pour qu'il se remarque au bruit qu'il produit. Il fonctionne selon le même principe. L'eau pénètre lorsque la vague vient se briser sur les rochers, emprisonnant de l'air et le comprimant fortement. En sortant par un trou 50 fois plus petit que l'entrée, le bruit ressemble à un coup de fusil qui peut surprendre.

Beach Rock de Saint-Leu

Stationner près du cimetière de Saint-Leu, avant la ville en venant de l'Etang Salé. Marcher vers la plage et repérer les plaques qui dépassent.

Les grès de plage de Saint-Leu (beach-rock) ont été constitués par l'agrégation des sables de la plage (constitués de débris coralliens et de sable basaltique) à de faibles profondeurs par des phénomènes chimiques encore à l'étude. Dix plaques, (ou dalles) dont on remarque très bien l'inclinaison vers la mer des trois ou quatre premières en fonction de la hauteur de l'eau, s'étendent sur près de 200 mètres le long de la plage. Les dalles sont parallèles à la terre et s'enfoncent sous un angle faible. Lire l'article de Laurent Michon du Laboratoire Géosciences Réunion pour des explications bien plus scientifiques.

Sable agglutiné

Les dunes de l'Etang Salé se remarquent moins que les coupures de la Ravine Mila. On peut s'en approcher au plus près en remontant la ravine à sec.

En coupe, les dunes présentent une succession de niveau finement stratifiés résultat d’un transport par les vents. On remarque des couches de différentes couleurs liées aux matériaux transportés (basalte, olivine, feldspath et très peu de corail) et à la direction du vent.

Marmites de géants

Suivre les fonds de ravines pour dénicher de belles marmites. Celles-ci se trouvent au pied du premier cassé de la Ravine des Trois Bassins en partant de la mer.

Il s'agit de cavités cylindriques souvent très régulières, à parois lisses et verticales, parfois plus larges en bas qu'en haut. Elless peuvent être totalement fermées mais aussi brisées sur les côtés par l'érosion. Elles se forment par l'érosion du socle par des galets qui tournent et creusent le basalte crue après crue. On en trouve dans presque tous les fonds de ravines. Celles présentées ci-contre sont vraiment très originales et l'on peut descente au fond sans danger.

Sud

Orgues

La randonnée des Gorges du Bras de la Plaine est une classique mais très agréables sortie du Sud.

Beaucoup de rivières de l'île proposent de belles orgues basaltiques. Celles de la Gorge du Bras de la Plaine sont particulièrement régulières et esthétiques.

Cratère hors enclos

On trouve sur l'île de très nombreux cratères mais tellement anciens qu'ils ressemblent à de vertes collines. Des cratères comme celui-ci peuvent s'escalader lors des randonnées aux Puys Ramond.

On peut les escalader sans trop de danger. La difficulté provient souvent des flancs couverts de lapilli instable.

Tunnels de lave

Cette balade sous terre est facile et très peu dangereuse à condition de bien lire les consignes et ne pas partir par fortes pluies.

On découvre chaque mois de nouveaux tunnels de lave dont certains de plusieurs kilomètres de long ou d'une centaine de mètres de profondeur. Il vaut mieux les visiter avec des guides mais celui de Citron Galet est facile d'accès et donne une bonne idée de cette formation particulière bien qu'il ne comporte que de très rares concrétions comme celles présentées ci-dessous.

Souffleurs

Certains souffleurs sont tellement connus qu'ils sont marqués sur les cartes. D'autres se rencontrent lors des étapes du tour de l'île où il sera facile d'en repérer une dizaine.

De tous petit tunnels creusés dans les falaises basaltiques du littoral reçoivent à longueur de journée des vagues qui poussent l'eau qui s'engouffre dans ces anfractuosités et la rejettent violemment, créant de petits geysers bruyants. Certains, plus difficiles à repérer n'évacuent que de l'air. C'est au bruit qu'on les repère alors que les geysers se voient de très loin.

hyaloclastites et palagonite

Se rendre dans le Sud Sauvage entre Langevin et Vincendo. Prendre la rue de Terre Rouge en direction de la mer et se garer au pied du Piton Vincendo. Prendre la piste puis le chemin qui descend vers la gauche. Un sentier part à droite à travers des cultures vers des bambous. Une fois le rempart atteint, les terres ocres apparaissent à la vue. Il suffit de prendre le sentier abrupt qui rejoint la mer 30 mètres en dessous pour admirer le spectacle.

Une curiosité du sud de l'île. On rencontre des sites de terre ocre à la Petite Ile entre le Piton de Grand Anse et l'îlot de la Petite Ile. Celles de Terre Rouge sont plus belles et impressionnantes. Voir explications sur la page de la randonnée à Terre Rouge

Vagues

On observe des belles vagues un peu partout sur l'île comme ici à Grande Anse.

Rien d'exceptionnel à la Réunion concernant les vagues. Lorsqu'une houle est annoncée, les vagues deviennent plus hautes et créent un agréable spectacle très recherché des photographes. Ne pas se baigner et éviter de sortir une planche de surf.

Pouzzolane

La falaise est située à droite de la route qui part de la 4 voies de Saint Pierre (à Pierrefond) et va vers l'Entre-Deux, avant le croisement du Ouaki. On peut suivre de très près cette falaise en effectuant la randonnée du Sentier la Corde.

Cette falaise de pouzzolane est l'une des plus impressionnantes de l'île. Elle est longue et creusée de magnifiques cavités. Dommage que le lieu soit souvent pollué de détritus.

Olivine et dunite

On en trouve dans presque tous les galets de l'île en les regardant de plus près. Les dunites se ramassent sur la Plaine des Sables. Le sable gris en contient toujours comme les plages vers l'Etang Salé. Ici, le sable provient de la nouvelle plage du Tremblet qui a d'ailleurs été baptisée Plage Verte.

Le Piton de la Fournaise est une des sources de production de ce minéral vert-jaune de la famille des silicates. Si certains cristaux de 15 cm ont été découverts, à la Réunion, on trouve ces petits grains verts parmi les autres grains de sable comme à la nouvelle plage du Tremblet par exemple. Sur la Plaine des Sables, on trouve parfois des cailloux plus gros, les dunites, recouverts de ce silicate et laissés là par le Piton Chisny où ils se dégradent peu à peu.

Les îlots

A partir de Grande Anse, poursuivre sur l'ancienne route nationale jusqu'à la Ravine de Petite Île. Stationner et descendre par la piste jusqu'au point de vue.

Pas d'archipel à La Réunion. La seule véritable île située près de la côte est la Petite Île dans la commune éponyme, proche de la Plage de Grande Anse. C'est une réserve ornithologique interdite à la visite. Ailleurs, principalement dans le Sud et l'Est, on trouve également quelques rochers qui dépassent mais ne peuvent pas prendre la dénomination d'île.

Train de houle

Toute la côte est concernés mais ce sont surtout les côtes rocheuses qu'il faut voir à ce moment.

En fonction de la météo dans l'Océan Indien, des phénomènes de trains de houle sont fréquemment observés sur l'île. Les creux qui dépassent souvent les 10 mètres, peuvent devenir très dangereux quand les vagues atterrissent sur les falaises. Des pêcheurs imprudents y ont laissé la vie. Des bulletins sont émis par les services météo pour avertir du danger. L'avantage est la possibilité de prendre des clichés de vagues pouvant fréquemment dépasser les 20 m le long des falaises.

Volcan

Sculptures récentes

On en trouve partout, grandes ou petites. Le seul inconvénient est le danger pour les approcher. Elles sont obligatoirement hors sentier sur des coulées récentes de gratons, donc dangereuses, friables et très acérées. Ce guetteur a été pris lors du tour du Piton de la Fournaise, à moins de 10 mètres du sentier officiel.

Dans le même domaine mais issues d'éruptions plus récentes, on rencontre parfois des sculptures de gratons comme ce guetteur aux jumelles fixées sur l'horizon, scrutant l'arrivée de randonneurs ou une nouvelle éruption.

Concrétions de lave

Toutes ces merveilles de la nature créées par la lave en fusion se visitent un peu partout sur l'île, accompagné de guides professionnels. Tunnel de lave Réunion sur un moteur de recherche donne aussitôt les adresses désirées.

L'avantage du guide c'est d'aller directement à la beauté d'une sculpture ou l'originalité d'une stalactite car on ne reste en général pas des heures sous la terre. Toutes les formes connues se rencontrent dans ces tunnels.

Maars

Les cinq valent le déplacement. Une randonnée un peu raide mais courte pour voir les Trous Blancs et 100 mètres de marche pour le Commerson, peu avant d'arriver au Pas des Sables en allant au Volcan, bien indiqué sur la droite.

Seulement cinq maars sont recensés à la Réunion. Aucun ne comporte de lac de cratère. Deux sont regroupés à Grand Coude, deux aux Trous Blancs et le dernier, le plus impressionnant est le Cratère Commerson de 265 m de profondeur. Les explications concernant la formation de ces phénomènes sont résumées sur les pages des randonnées ci-dessus.

Arc en ciel blanc

On peut en rencontrer fréquemment à condition de se lever tôt et remplir les conditions résumées ci-contre. Photos prises au Chalet des Pâtres.

En montagne, il est possible de voir cet arc blanc. L'arc se forme de la même façon qu'un arc-en-ciel classique. La source de lumière derrière l'observateur éclaire la brume ou le brouillard et la lumière effectue une réfraction en passant de l'air dans les gouttes, suivi d'une diffraction partielle, puis une réflexion interne et une nouvelle réfraction en sortant des gouttes avant d'atteindre l'observateur. La lumière est très peu décomposée en différentes couleurs parce que les gouttelettes font moins de 0,05 mm de diamètre, ce qui donne cet aspect blanc.Un arc blanc est presque aussi grand qu'un arc-en-ciel et beaucoup plus large. Le Soleil ne doit pas être à plus de 30 - 40° de hauteur sur l'horizon à moins que son visionneur ne soit sur une colline et donc que la brume et l'arc puissent être vus d'en haut. Source : Wikipedia

Lave

Ces coulées sont nombreuses lors des sorties à l'intérieur de l'enclos. Ici, hors enclos, à la Pointe de la Table.

Les coulées les plus récentes sont les plus jolies et les mieux conservées. Les rayons du soleil, en fonction de l'heure permettent de magnifiques photos. D'autres, plus anciennes jonchent le sol d'une grande partie de l'île mais sont en partie recouvertes de végétation.

Cheveu de pélé

Baisser les yeux lors de certaines éruptions volcaniques en marchant dans l'enclos et repérer ces touffes derrière les roches. On en découvre partout sur l'île si le vent a été assez fort.

Egalement appelé obsidienne capillaire, ce très fin filament est formé par l'étirement d'une gouttelette de lave très chaude, donc extrêmement fluide. Ces filaments sont ensuite apportés par le vent à des kilomètres à la ronde et peuvent nuire dangereusement au bétail dans les prairies. Une fois ingérés, ces filaments plus fins que des cheveux, perforent des organes et peuvent entraîner la mort de l'animal. On les trouve facilement en période éruptive, agglutinés derrière les roches qui les protègent de l'envol.

Eruption volcanique

Il est interdit de s'approcher des éruptions. En revanche on peut les observer depuis de nombreux points de vue. Attendre qu'on donne aux informations le meilleur emplacement pour l'observation.

Elles sont aléatoires, difficiles à prévoir tant dans le temps que sur le terrain. Quand les grands titres disent "Volcan la pété", c'est qu'il est temps de se renseigner sur le lieu de l'éruption pour commencer à préparer une balade de jour ou de nuit pour un spectacle plus grandiose.